K.
2017-12-22 06:29:12 UTC
Après des mois de mises en garde, la Commission
européenne a déclenché mercredi une procédure
inédite contre la Pologne, pouvant aller
jusqu'à priver le pays de ses droits de vote
dans l'UE s'il ne renonce pas à ses réformes
judiciaires controversées.
L'UE est une construction totalitaire qui se moqueeuropéenne a déclenché mercredi une procédure
inédite contre la Pologne, pouvant aller
jusqu'à priver le pays de ses droits de vote
dans l'UE s'il ne renonce pas à ses réformes
judiciaires controversées.
bien de l'avis des peuples qu'elle contraint sous
son joug ; les premiers à l'avoir compris sont les
Britanniques.
fait dire n'importe quoi.
Il n'y a que les fachos qui peuvent se réjouir de la suppression de
l'indépendance de la justice par rapport au pouvoir exécutif. C'est
de ça dont il est question en Pologne, c'est contre ça que
manifestaient les Polonais dans les rues cet été, et l'UE a tout à
fait raison d'appliquer des mesures de rétorsion.
accepte des membres qui ne respectent pas leurs droits pour des
raisons
religieuses.
Les polonais sauront abattre le pouvoir religieux tout seuls,
l'Europe peut les aider à abattre le pouvoir des ayatollah
catholiques
comme elle le fait pour les ayatollah musulmans.
L'Europe ne peut pas non plus accepter des membres dont les lois
en font
un pays de non droit. Bien sûr les fascistes et anti-européens
applaudissent des deux mains. Accepter une telle dérive signera la
fin
du projet d'une Europe démocratique dans un délai assez bref.
confère des droits mais impose aussi des devoirs, dont celui de
respecter les principes de la démocratie.
Pologne, qui ont choisi d'adhérer à l'Union.
leur pays à L'Union Européenne par référendum national les 7 et 8 juin
2003.
ratification du traité de Lisbonne qui reprenait l'essentiel du traité
rejeté en 2005.
Que je sache leur gouvernement et leurs députés ont été élus par le
peuple polonais.
Le peuple polonais a choisi d'adhérer à l'UE.peuple polonais.
règles. Cela n'a rien à voir avec l'OTAN.
AVANT l'UE.
L'UE peut difficilement se passer d'un partenariat avec l'OTAN tant
qu'elle ne dispose pas d'une politique de défense commune. Cependant, la
Suède et la Finlande, par exemple, sont membres de l'UE sans l'être de
l'OTAN.
La continuité des traités doit être respectée quel que soit le
gouvernement en place. S'ils ne veulent plus respecter les règles
démocratiques, ils doivent quitter l'Union.
En quoi ne respectent-ils pas les règles démocratiques ?gouvernement en place. S'ils ne veulent plus respecter les règles
démocratiques, ils doivent quitter l'Union.
sous le contrôle direct du parti au pouvoir
HATVP entre les mains des copains et coquins du cabinet noir pour faire
élire le pantin de la banque d'affaires.
rien que d'autres États membres bafouent le principe de l'indépendance
de la justice.
violation du principe fondamental de l'indépendance de la justice.
La justice n'a pas à être indépendante, c'est une autorité. Personne nedoit être indépendant du peuple.
justice tient la légitimité de son appartenance à un gouvernement élu
par le peuple. Il serait peut-être préférable, pour limiter encore les
risques de collusion avec l'exécutif, que sa nomination soit soumise à
un vote du parlement, comme le suggèrent certains.
Mais dans tous les cas, placer la justice sous le contrôle d'un parti
politique, comme souhaite le faire le régime polonais, présente un
risque inacceptable de dérive autoritaire.
Il n'y a que cet imbécile franc-maçon et agent anglais de Montesquieu
qui voit la justice comme un des "trois pouvoirs". Locke n'a pas les
mêmes trois pouvoirs.
La Trias Politica de Montesquieu est inspirée de la pensée politique dequi voit la justice comme un des "trois pouvoirs". Locke n'a pas les
mêmes trois pouvoirs.
Locke. Si ce dernier n'a pas clairement établi une distinction entre les
trois pouvoirs, c'est parce qu'il posait comme principe que les droits
naturels étaient imprescriptibles (donc forcément respectés par
l'exécutif) et aussi parce qu'il n'a pas osé remettre en cause le
privilège laissé au roi de trancher, y compris en matière de lois.
De ce point de vue, Montesquieu est allé plus loin son prédecesseur en
poussant la logique de séparation des pouvoirs jusqu'au bout.
Le droit positif
véritable condamne de 2 à 5 ans de prison celui qui fait ceci ou cela.
Le juge ne doit qu'établir la vérité d'un fait positif. Et le tarif
entre 2 et 5 résulte de diverses considérations.
Ça, c'est encore un autre problème. On trouve dans le Code de procédurevéritable condamne de 2 à 5 ans de prison celui qui fait ceci ou cela.
Le juge ne doit qu'établir la vérité d'un fait positif. Et le tarif
entre 2 et 5 résulte de diverses considérations.
pénale (saine lecture, s'il en est), une constante volonté d'équilibre,
de recherche de vérité, d'impartialité. En principe, le juge se
contente de *dire* le droit.
En réalité, tous ceux qui connaissent un peu les tribunaux (il suffit
d'assister à quelques procès, la plupart étant ouverts au public)
savent que les choses sont loin de se passer aussi bien. Tout se passe
comme si les magistrats passaient leur temps à essayer de tirer sur la
corde pour faire dire aux lois ce qu'ils veulent, en évitant toutefois
d'aller trop loin pour éviter les sanctions disciplinaires.
Il faudrait de profondes réformes (notamment dans la phase d'instruction,
dans les rapports entre le JI et le procureur) pour que la justice soit
plus efficace, plus "juste", en France, mais ce serait un long débat.
Mais quand on passe au vocabulaire flou, fourre-tout, et qu'on laisse
une brochette de trois francs-macs (cf. livres de Bernard Méry) décider
que ceci ou cela est de l'"incitation à", on sombre dans la dictature
tchékiste. L'expression imposée par Simone à Pleven et à Pompidou, le
larbin de la Banque, se retrouve dans les exigences du lobby à esprit
d'escalier dès les années 1860.
Personnellement, je serais partisan d'obliger les magistrats à déclarerune brochette de trois francs-macs (cf. livres de Bernard Méry) décider
que ceci ou cela est de l'"incitation à", on sombre dans la dictature
tchékiste. L'expression imposée par Simone à Pleven et à Pompidou, le
larbin de la Banque, se retrouve dans les exigences du lobby à esprit
d'escalier dès les années 1860.
leur appartenance maçonnique, ce qui permettrait par exemple de pouvoir
lever une requête en suspicion légitime si l'on s'aperçoit que le
représentant du ministère public et le juge appartiennent à la même
loge. Même chose d'ailleurs s'ils se retrouvent ensemble pour jouer au
golf ou s'ils fréquentent les mêmes prostituées.